Une lumière qui se réfracte à l'infini
La Vierge Marie assure dans l'Eglise une lumière que rien ne peut éteindre, elle se diffuse et se réfracte partout où la vertu des hommes (et des femmes) se rallume.
Le principe marial dans l'Eglise est symbolisé par Marie, tandis que le principe pétrinien est symbolisé par Pierre. C'est un reflet de cette volonté de Dieu : "Homme et femme il les créa". Dans l'Eglise, l'anthropologie repose sur la Bible, sur la création.
Le principe marial dans l'Eglise est symbolisé par Marie, tandis que le principe pétrinien est symbolisé par Pierre. C'est un reflet de cette volonté de Dieu : "Homme et femme il les créa". Dans l'Eglise, l'anthropologie repose sur la Bible, sur la création.
Le principe marial comme lumière du principe pétrinien
Le pape François a lancé une grande réflexion sur trois principes : le principe pétrinien, le principe marial et ce qu'il appelle la voie administrative : la possibilité pour les femmes et les hommes laïcs d'investir toutes les structures non réservées au principe pétrinien (sacerdoce), ou au principe marial (virginité consacrée, par exemple). Le principe pétrinien et le principe marial illustrent l'anthropologie biblique qui unie sans confondre ni échanger les rôles. La voie administrative, ouverte aux laïcs, permet quant à elle une égalité de possibilité de services et de compétences. Pour tous ceux qui oeuvrent dans la voie administrative, Marie est une lumière indispensable, et Pierre est le Roc. Ainsi, tout service s'opère dans la communion, sans confusion ni revendication d'inversion des rôles, et dans l'égalité de dignité des baptisés.
Une femme sur le terrain
On peut se demander si l'anthropologie chrétienne n'est pas influencée par les époques : la place de la femme, le rôle des laïcs, les relations hommes/femmes sont bien sûr tributaires du milieu ambiant, de la société contemporaine. En cela, notre époque a fait de la femme une "ouvrière" de la dernière heure en suivant malheureusement les anthropologies non chrétiennes : à égale compétence, "personne ne nous embauchées, Seigneur". Notamment dans la voie administrative, ce qui crée un grand déséquilibre dans le discernement, l'efficacité, la charité. Mais il n'est pas trop tard pour équilibrer l'apport féminin partout où il manque, dans le respect du principe marial et du principe pétrinien.
En effet, le principe pétrinien et le principe marial comme structure fondamentale de l'Eglise, permettent de garder une anthropologie biblique qui s'ancre dans la Parole de Dieu. C'est un peu comme... une équipe de foot. Le capitaine reste Pierre, qui soude son équipe. Et, pardonnez l'audace qui est celle pourtant de l'Eglise, Marie est l'arbitre! Une femme sur le terrain, à qui l'on peut toujours avoir recours et qui apporte sa rayonnante lumière, pour un jeu sans taches, sans tricheries, un jeu gagnant!
En effet, le principe pétrinien et le principe marial comme structure fondamentale de l'Eglise, permettent de garder une anthropologie biblique qui s'ancre dans la Parole de Dieu. C'est un peu comme... une équipe de foot. Le capitaine reste Pierre, qui soude son équipe. Et, pardonnez l'audace qui est celle pourtant de l'Eglise, Marie est l'arbitre! Une femme sur le terrain, à qui l'on peut toujours avoir recours et qui apporte sa rayonnante lumière, pour un jeu sans taches, sans tricheries, un jeu gagnant!
La neuvaine d'urgence de mère Teresa
Je termine en citant cette neuvaine d'urgence récitée par mère Teresa, une autre femme de terrain qui a si bien illustré le principe marial uni au principe pétrinien. Mère Teresa, en cas d'urgence, récitait le "souvenez-vous", dix fois dans la journée : neuf fois pour la neuvaine urgente, et une fois pour remercier. Certainement, saint Pierre allait souvent auprès de Marie pour les causes urgentes, dix fois par jour! Faisons-en autant!
Souvenez-vous, ô très miséricordieuse
Vierge Marie, qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui avaient eu recours à
votre protection, imploré votre assistance,
réclamé votre secours, ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance, ô Vierge
des vierges, ô ma Mère, je cours vers vous
et, gémissant sous le poids de mes péchés, je
me prosterne à vos pieds. Ô Mère du Verbe,
ne méprisez pas mes prières, mais accueillez-
les favorablement et daignez les exaucer.
AC
Souvenez-vous, ô très miséricordieuse
Vierge Marie, qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui avaient eu recours à
votre protection, imploré votre assistance,
réclamé votre secours, ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance, ô Vierge
des vierges, ô ma Mère, je cours vers vous
et, gémissant sous le poids de mes péchés, je
me prosterne à vos pieds. Ô Mère du Verbe,
ne méprisez pas mes prières, mais accueillez-
les favorablement et daignez les exaucer.
AC