Joseph était un victorieux né. Il a dû développer une science de la victoire face au mal qui a plu à Dieu Lui-même au point de lui confier la victoire incarnée. Que voit-on chez Joseph qui montre cet aspect victorieux?
Tout d'abord, Joseph sait voir au-delà des apparences de défaites. On a essayé de lui faire croire que son mariage avec Marie était la pire des défaites : tromperie, infidélité, répudiation. Joseph retourne la situation en se taisant. Il voit en Marie la victoire de la Toute Sainte. Il devient son allié. La répudiation n'en sera pas une, elle servira de stratégie : Marie enceinte passera inaperçue aux yeux du démon et de l'adversaire. Jésus grandira et se fortifiera en paix. Joseph n'a jamais abandonné face au doute, il a persévéré, il a maintenu sa confiance en son épouse très pure.
S'il faut beaucoup d'humiliation pour faire un peu d'humilité, chez Joseph, beaucoup d'humilité...humilie le mal. Car Hérode n'a rien vu non plus, il cherchait un roi puissant, il n'a pas vu la puissance de Joseph qui lui dérobait sa victime encore enfant.
Tout d'abord, Joseph sait voir au-delà des apparences de défaites. On a essayé de lui faire croire que son mariage avec Marie était la pire des défaites : tromperie, infidélité, répudiation. Joseph retourne la situation en se taisant. Il voit en Marie la victoire de la Toute Sainte. Il devient son allié. La répudiation n'en sera pas une, elle servira de stratégie : Marie enceinte passera inaperçue aux yeux du démon et de l'adversaire. Jésus grandira et se fortifiera en paix. Joseph n'a jamais abandonné face au doute, il a persévéré, il a maintenu sa confiance en son épouse très pure.
S'il faut beaucoup d'humiliation pour faire un peu d'humilité, chez Joseph, beaucoup d'humilité...humilie le mal. Car Hérode n'a rien vu non plus, il cherchait un roi puissant, il n'a pas vu la puissance de Joseph qui lui dérobait sa victime encore enfant.
Joseph puisait sa force dans le petit Enfant qu'il tenait dans ses bras. Et dans le regard de Marie. Joseph était le plus grand des résistants, caché dans l'ombre, il ne cédait jamais à la crainte. Les litanies l'appellent " Joseph, très courageux", car il n'avait peur de rien quand il s'agissait de la victoire de Dieu. Il n'avait pas peur d'être pur, d'être avec la Vierge toute Pure et avec l'Enfant Sauveur. En ces temps de défaitisme et de désertion qui rabâche que " tout s'effondre" et qu'il faut " capituler" sur l'essentiel, la sainteté, le refus de l'hypocrisie et du double visage, où trouver des modèles de victorieux ?
Les faibles et les petits, les cachés de l'histoire, dans leur courage, confèrent la victoire à qui s'appuie sur leur amour. On peut dans ce sens regarder le film sur De Gaulle qui retrace son arrivée à Londres jusqu'à l'appel du 18 juin : Lambert Wilson campe un De Gaulle qui s'appuie sur l'amour d'Yvonne et celui d'Anne, leur fille trisomique. Anne est pour beaucoup dans le salut de la France. De Gaulle dit, dans le film, comme dans ses lettres, qu'Anne lui donne "une grande force". Ainsi, au tournant de l'histoire, une petite trisomique a un rôle immense et caché, comme Joseph. Le courage d'Anne est montré dans les tribulations et les périls d'Yvonne et de la famille pour rejoindre l'Angleterre. La guerre, les morts, les pillages, les navires coulés par l'aviation allemande à côté de celui dans lequel eles ont embarqué : Anne a vécu toutes ces peurs et ces dangers. Yvonne, sa mère, puisait elle aussi une immense force en son amour pour sa fille.
Cette force qui permet de refuser la défaite, c'est la même qui animait Joseph face à Hérode, le Hilter de son temps. La force de croire et d'aimer, de mettre à l'honneur le petit et le faible et de les défendre, la force de ne jamais abandonner.
Les faibles et les petits, les cachés de l'histoire, dans leur courage, confèrent la victoire à qui s'appuie sur leur amour. On peut dans ce sens regarder le film sur De Gaulle qui retrace son arrivée à Londres jusqu'à l'appel du 18 juin : Lambert Wilson campe un De Gaulle qui s'appuie sur l'amour d'Yvonne et celui d'Anne, leur fille trisomique. Anne est pour beaucoup dans le salut de la France. De Gaulle dit, dans le film, comme dans ses lettres, qu'Anne lui donne "une grande force". Ainsi, au tournant de l'histoire, une petite trisomique a un rôle immense et caché, comme Joseph. Le courage d'Anne est montré dans les tribulations et les périls d'Yvonne et de la famille pour rejoindre l'Angleterre. La guerre, les morts, les pillages, les navires coulés par l'aviation allemande à côté de celui dans lequel eles ont embarqué : Anne a vécu toutes ces peurs et ces dangers. Yvonne, sa mère, puisait elle aussi une immense force en son amour pour sa fille.
Cette force qui permet de refuser la défaite, c'est la même qui animait Joseph face à Hérode, le Hilter de son temps. La force de croire et d'aimer, de mettre à l'honneur le petit et le faible et de les défendre, la force de ne jamais abandonner.