Une avalanche d'articles de vaticanistes disant le contraire...
Le " conclave virtuel" a commencé....dès le premier pape ! Avec des dissensions et des lettres, des critiques et des divergeances dont on trouve les récits précis dans les Actes des Apôtres. Ce furent les premiers Conciles dont le concile de Jérusalem. Les vaticanistes aujourd'hui ajoutent un élément qui a toujours été constant : le regard extérieur du monde sur l'Eglise.
Au fond, un vaticaniste est un observateur qui cherche à comprendre, s'il est honnête.
Or, nous voyons des vaticanistes qui se font le relais de cardinaux, d'évêques, en ajoutant une sorte d'échelon nouveau aux décisions d'Eglise : l'opinion publique et la transparence.
Ces deux éléments ne sont pas mauvais en soi mais demandent une certaine prudence dans l'acceptation des informations, leur analyse, leur objectivité.
Au fond, un vaticaniste est un observateur qui cherche à comprendre, s'il est honnête.
Or, nous voyons des vaticanistes qui se font le relais de cardinaux, d'évêques, en ajoutant une sorte d'échelon nouveau aux décisions d'Eglise : l'opinion publique et la transparence.
Ces deux éléments ne sont pas mauvais en soi mais demandent une certaine prudence dans l'acceptation des informations, leur analyse, leur objectivité.
Critères pour lire des articles de vaticanistes.
Le pape Benoît XVI a lui-même définit ces critères en prenant pour paradigme la lecture du concile Vatican II par les médias. Le " Concile virtuel" des médias n'est pas le Concile réel.
Le" conclave virtuel permanent" relayé par les médias n'est pas non plus le véritable enjeu!
Faut-il pour autant ne plus lire les informations données par les journalistes et par les vaticanistes ? Non, ce serait perdre le contact et se montrer bien naïf. L'opinion publique et la transparence, ces deux critères journalistiques, ont du bon.
Mais, face à un déferlement de fausses informations et de déformations en boucle, d'incompétence et de malveillance, il est bon de savoir lire les articles des vaticanistes et de savoir en déchiffrer le langage.
Le" conclave virtuel permanent" relayé par les médias n'est pas non plus le véritable enjeu!
Faut-il pour autant ne plus lire les informations données par les journalistes et par les vaticanistes ? Non, ce serait perdre le contact et se montrer bien naïf. L'opinion publique et la transparence, ces deux critères journalistiques, ont du bon.
Mais, face à un déferlement de fausses informations et de déformations en boucle, d'incompétence et de malveillance, il est bon de savoir lire les articles des vaticanistes et de savoir en déchiffrer le langage.
Vaticanistes = journalistes= spécialistes=compétence ?
Un journaliste spécialisé doit connaître lui aussi le langage et les caractéristiques de son sujet.
Or, qu'en est-il des connaissances théologiques et canoniques des vaticanistes actuels ?
Relevons des exemples significatifs et objectifs : le livre tiré des documents volés au Pape Benoît XVI et l'interprétation de ces documents a donné sur internet et dans les journaux des analyses privées d'objectivité. Pourquoi ? Parce que les démarches canoniques qui régissent toutes les demandes, tous les recours hiérarchiques dans l'Eglise, les dossiers complets ne sont pas dans ces documents, et pour cause! Les " affaires financières", traitées dans l'Eglise dans le domaine du droit canonique appelé " Justice administrative" et " gestion des biens matériels" sont traitées selon le droit de l'Eglise, en accord avec le droit des états, avec le droit particulier des institutions concernées qui ont des statuts propres. Faire pression en divulgant des documents indique un désir de contourner le droit. Ne commenter qu'un ou deux documents sans avoir accès au processus ( au procès canonique en cours, à l'histoire entière ), qui plus est des documents volés et déformés par des interprétations subjectives ou tout simplement incompétentes, rend plutôt service a contrario à ceux qui font confiance au droit : cela signifie que devant l'avancée d'un procès canonique ou civil respectueux du droit, des gens non respecteux de ce même droit en sont réduits à des moyens détournés.
Or, qu'en est-il des connaissances théologiques et canoniques des vaticanistes actuels ?
Relevons des exemples significatifs et objectifs : le livre tiré des documents volés au Pape Benoît XVI et l'interprétation de ces documents a donné sur internet et dans les journaux des analyses privées d'objectivité. Pourquoi ? Parce que les démarches canoniques qui régissent toutes les demandes, tous les recours hiérarchiques dans l'Eglise, les dossiers complets ne sont pas dans ces documents, et pour cause! Les " affaires financières", traitées dans l'Eglise dans le domaine du droit canonique appelé " Justice administrative" et " gestion des biens matériels" sont traitées selon le droit de l'Eglise, en accord avec le droit des états, avec le droit particulier des institutions concernées qui ont des statuts propres. Faire pression en divulgant des documents indique un désir de contourner le droit. Ne commenter qu'un ou deux documents sans avoir accès au processus ( au procès canonique en cours, à l'histoire entière ), qui plus est des documents volés et déformés par des interprétations subjectives ou tout simplement incompétentes, rend plutôt service a contrario à ceux qui font confiance au droit : cela signifie que devant l'avancée d'un procès canonique ou civil respectueux du droit, des gens non respecteux de ce même droit en sont réduits à des moyens détournés.
Dénoncer, impliquer des cardinaux malhonnêtes ? Les procès virtuels et le droit.
Le principe de la transparence et de voir surgir en plein jour des exactions, des infractions, des crimes couverts ou commis par des cardinaux n'est pas un problème, si l'on respecte le droit. Le fait de condamner des cardinaux ou des évêques qui ont failli et trahi leur foi, si c'est vraiment le cas, est une bonne chose.
Mais voilà : on accuse indistinctement, dans un procès médiatique virtuel permament, sans preuves de source fiable ( un document incomplet ou sorti du contexte juridique complet auquel il appartient n'est pas suffisant pour prouver quoi que ce soit!).
Un exemple qui peut paraître secondaire mais montre la " virtualité " du procès médiatique. Un des cardinaux travaillant à la secrétairerie d'Etat, le cardinal Paolo Sardi, a été nommé par le majordome Gabriele comme faisant partie des personnes avec lesquelles il parlait et partageait sur l'ambiance de la Curie.
Les médias ont immédiatement traduit : "opposition au Pape, opposition entre cardinaux, le cardinal Sardi a des avis divergeants de celui du pape sur d'autres collaborateurs de la Curie. Il sera donc écarté."
Peu de temps après, le cardinal Sardi quitte son poste de vice-camerlingue. Les vaticanistes insinuent : " Il part discrètement, révocation? Disgrâce ? Culpabilité?"
Un vaticaniste plus compétent explique : il a été fait cardinal, il peut voter en cas de conclave. Or le vice-camerlingue a pour mission de rester en dehors du conclave : c'est lui qui ferme les portes depuis le dehors.
Donc, le fait pour le cardinal Sardi de quitter son poste correspondait à un respect du droit cardinalice de participer au conclave.
Quant à la disgrâce...le cardinal Sardi travaille aux textes des papes et à la secrétairerie d'état depuis Paul VI. Et il y travaille encore.
Son avis sur d'autres cardinaux : il n'a jamais été interdit dans l'Eglise de ne pas être d'accord entre cardinaux. Ce serait d'ailleurs utopique. Le procès virtuel des médias ignore le droit élémentaire. Quand les cardinaux ne sont pas d'accord entre eux, ils peuvent justement en référer au Pape et au droit ecclesial. Sans s'accuser dans les médias ou laisser leurs propos être déformés et récupérés en boucle...
Ce fut une autre " affaire" commentée par les vaticanistes et les journalistes, lorsque deux cardinaux, le cardinal Shönborn et le cardinal Sodano," s'opposèrent dans les médias. " Ou furent pris dans le filet de techniques de communications aggresssives qu'ils n'avaient pas prévues....
Mais voilà : on accuse indistinctement, dans un procès médiatique virtuel permament, sans preuves de source fiable ( un document incomplet ou sorti du contexte juridique complet auquel il appartient n'est pas suffisant pour prouver quoi que ce soit!).
Un exemple qui peut paraître secondaire mais montre la " virtualité " du procès médiatique. Un des cardinaux travaillant à la secrétairerie d'Etat, le cardinal Paolo Sardi, a été nommé par le majordome Gabriele comme faisant partie des personnes avec lesquelles il parlait et partageait sur l'ambiance de la Curie.
Les médias ont immédiatement traduit : "opposition au Pape, opposition entre cardinaux, le cardinal Sardi a des avis divergeants de celui du pape sur d'autres collaborateurs de la Curie. Il sera donc écarté."
Peu de temps après, le cardinal Sardi quitte son poste de vice-camerlingue. Les vaticanistes insinuent : " Il part discrètement, révocation? Disgrâce ? Culpabilité?"
Un vaticaniste plus compétent explique : il a été fait cardinal, il peut voter en cas de conclave. Or le vice-camerlingue a pour mission de rester en dehors du conclave : c'est lui qui ferme les portes depuis le dehors.
Donc, le fait pour le cardinal Sardi de quitter son poste correspondait à un respect du droit cardinalice de participer au conclave.
Quant à la disgrâce...le cardinal Sardi travaille aux textes des papes et à la secrétairerie d'état depuis Paul VI. Et il y travaille encore.
Son avis sur d'autres cardinaux : il n'a jamais été interdit dans l'Eglise de ne pas être d'accord entre cardinaux. Ce serait d'ailleurs utopique. Le procès virtuel des médias ignore le droit élémentaire. Quand les cardinaux ne sont pas d'accord entre eux, ils peuvent justement en référer au Pape et au droit ecclesial. Sans s'accuser dans les médias ou laisser leurs propos être déformés et récupérés en boucle...
Ce fut une autre " affaire" commentée par les vaticanistes et les journalistes, lorsque deux cardinaux, le cardinal Shönborn et le cardinal Sodano," s'opposèrent dans les médias. " Ou furent pris dans le filet de techniques de communications aggresssives qu'ils n'avaient pas prévues....
Ne serait-ce pas plutôt les médias qui opposent les cardinaux ? La tentation du " procès parallèle".
Les cardinaux sont eux aussi soumis au droit de l'Eglise, le pape lui-même ne peut faire quelque chose contre la foi, les moeurs. Le droit ecclesial est l'expression juridique du sacré dans l'Eglise. Cela signifie tout simplement que les péchés et les crimes ne sont pas admis et sont sanctionnés. Si des cardinaux ont commis des crimes, ils seront sanctionnés.
Les cardinaux peuvent être soumis à la tentation eux-aussi et être de grands pécheurs : l'histoire de l'Eglise en est pleine. Voilà pourquoi sur des scandales, les journaux peuvent être bien utiles. Mais ils ne sont pas, et ne font pas le droit. S'ils dénoncent avec compétence, des faits exacts et avérés, merci à eux.
S'ils dressent des cardinaux les uns contre les autres pour empêcher la vérité de jaillir et les procès canoniques et civils d'être dans le vrai, alors les complicités apparaîtront entre les pécheurs " du dedans" et " les pécheurs du dehors" de l'Eglise....
Les cardinaux peuvent être soumis à la tentation eux-aussi et être de grands pécheurs : l'histoire de l'Eglise en est pleine. Voilà pourquoi sur des scandales, les journaux peuvent être bien utiles. Mais ils ne sont pas, et ne font pas le droit. S'ils dénoncent avec compétence, des faits exacts et avérés, merci à eux.
S'ils dressent des cardinaux les uns contre les autres pour empêcher la vérité de jaillir et les procès canoniques et civils d'être dans le vrai, alors les complicités apparaîtront entre les pécheurs " du dedans" et " les pécheurs du dehors" de l'Eglise....
Droit et sainteté dans l'Eglise : le fondement de la FOI.
" N'ayez pas peur" ! disait Jean-Paul II. " Un humble serviteur à sa vigne", continue Benoît XVI. Lors de son discours en 2011 pour la fête de la Chaire de Saint Pierre, il expliquait ce qu'est le Roc :
"Le passage évangélique d’aujourd’hui présente Pierre qui, mû par une inspiration divine, exprime sa foi solide en Jésus, le Fils de Dieu et le Messie promis. En réponse à cette profession de foi limpide, faite par Pierre mais aussi au nom des autres Apôtres, le Christ lui révèle la mission qu’il entend lui confier, autrement dit celle d’être la « pierre », le « rocher », le fondement visible sur lequel est construit tout l’édifice spirituel de l’Église. (cf. Mt 16,16-19). Cette dénomination de « rocher-pierre » ne fait pas référence au caractère de la personne, mais doit être comprise seulement à partir d’un aspect plus profond, du mystère : à travers la charge que Jésus lui confère, Simon-Pierre deviendra ce qu’il n’est pas par « la chair et le sang ». L’exégète Joachim Jeremias a montré qu’en arrière-plan se trouve le langage symbolique du « rocher saint ». A cet égard peut nous venir en aide un texte rabbinique dans lequel on affirme : « Le Seigneur dit ‘ Comment puis-je créer le monde, quand surgiront ces sans-Dieu et qu’ils se révolteront contre moi ? ’. Mais quand Dieu vit qu’Abraham devait naître, il dit : ‘Regarde, j’ai trouvé un roc, sur lequel je peux construire et fonder le monde’. C’est pourquoi il appela Abraham un rocher ». Le prophète Isaïe y fait référence quand il rappelle au peuple « regardez le rocher d’où l’on vous a taillés… Abraham votre père » (51, 1-2). Abraham, le père des croyants, avec sa foi est vu comme le roc qui soutient la création. Simon, qui le premier a confessé Jésus en tant que Christ et a été le premier témoin de la résurrection, devient maintenant avec sa foi renouvelée, le roc qui s’oppose aux forces destructrices du mal. ( discours du 19 février 2011)
U n peu plus loin, dans le même discours sur ce que représente l'Eglise, la Foi, saint Pierre :
"Tout dans l’Église repose sur la foi : les sacrements, la liturgie, l’évangélisation, la charité. Même le droit, même l’autorité dans l’Église reposent sur la foi. L’Église ne s’auto-régule pas, elle ne se donne pas à elle-même son ordre propre, mais elle le reçoit de la Parole de Dieu, qu’elle écoute dans la foi et qu’elle cherche à comprendre et à vivre."
"Le passage évangélique d’aujourd’hui présente Pierre qui, mû par une inspiration divine, exprime sa foi solide en Jésus, le Fils de Dieu et le Messie promis. En réponse à cette profession de foi limpide, faite par Pierre mais aussi au nom des autres Apôtres, le Christ lui révèle la mission qu’il entend lui confier, autrement dit celle d’être la « pierre », le « rocher », le fondement visible sur lequel est construit tout l’édifice spirituel de l’Église. (cf. Mt 16,16-19). Cette dénomination de « rocher-pierre » ne fait pas référence au caractère de la personne, mais doit être comprise seulement à partir d’un aspect plus profond, du mystère : à travers la charge que Jésus lui confère, Simon-Pierre deviendra ce qu’il n’est pas par « la chair et le sang ». L’exégète Joachim Jeremias a montré qu’en arrière-plan se trouve le langage symbolique du « rocher saint ». A cet égard peut nous venir en aide un texte rabbinique dans lequel on affirme : « Le Seigneur dit ‘ Comment puis-je créer le monde, quand surgiront ces sans-Dieu et qu’ils se révolteront contre moi ? ’. Mais quand Dieu vit qu’Abraham devait naître, il dit : ‘Regarde, j’ai trouvé un roc, sur lequel je peux construire et fonder le monde’. C’est pourquoi il appela Abraham un rocher ». Le prophète Isaïe y fait référence quand il rappelle au peuple « regardez le rocher d’où l’on vous a taillés… Abraham votre père » (51, 1-2). Abraham, le père des croyants, avec sa foi est vu comme le roc qui soutient la création. Simon, qui le premier a confessé Jésus en tant que Christ et a été le premier témoin de la résurrection, devient maintenant avec sa foi renouvelée, le roc qui s’oppose aux forces destructrices du mal. ( discours du 19 février 2011)
U n peu plus loin, dans le même discours sur ce que représente l'Eglise, la Foi, saint Pierre :
"Tout dans l’Église repose sur la foi : les sacrements, la liturgie, l’évangélisation, la charité. Même le droit, même l’autorité dans l’Église reposent sur la foi. L’Église ne s’auto-régule pas, elle ne se donne pas à elle-même son ordre propre, mais elle le reçoit de la Parole de Dieu, qu’elle écoute dans la foi et qu’elle cherche à comprendre et à vivre."
Unité des cardinaux et du Pape.
Ainsi, les vaticanistes et les journalistes non croyants, les chrétiens qui doutent en lisant les médias, peuvent trouver des réponses plus profondes à leur légitime questionnement. Les cardinaux sont-ils unis autour du Pape ou divisés en factions politiques et humaines ? Les deux : l'Eglise n'est pas une utopie mais une conversion permanente reposant sur la Foi, ce qui explique que dans les grandes tempêtes, la barque de saint Pierre ne coule pas. Ce qui explique aussi que surgissent des Papes Saints et de saints Cardinaux. Un fait peu souligné par le concile virtuel des médias : les cardinaux papabile et autres dont on peut suivre les actions sur toute la planète sont extraordinairement engagés dans des actions caritatives multiples, des créations au service du bien commun, une créativité au service de l'humanité et de la Foi multiforme et foisonnante. En lisant les articles qui dressent la liste de leurs actions et de leurs engagements au nom de l'Eglise, on s'aperçoit d'une réalité toute autre qui transparaît malgré le flot de commentaires qui essaie d'en minimiser l'impact. Gageons que beaucoup de cardinaux correspondent aussi et bien plus au portrait qu'en fait le pape dans ce même discours :
"La nouvelle dignité qui vous a été conférée veut manifester l’estime pour votre fidèle travail dans la vigne du Seigneur, rendre honneur aux Communautés et aux Nations d’où vous venez et dont vous êtes de dignes représentants dans l’Église, vous investir de nouvelles et plus importantes responsabilités ecclésiales, et enfin vous demander un supplément de disponibilité pour le Christ et pour la Communauté chrétienne tout entière. Cette disponibilité au service de l’Évangile est solidement fondée sur la certitude de la foi. Nous savons en effet que Dieu est fidèle à ses promesses et nous attendons dans l’espérance la réalisation de ces paroles de l’apôtre Pierre : « Et quand se manifestera le berger suprême, vous remporterez la couronne de gloire qui ne se flétrit pas » (1 Pt 5, 4)."
Josefa Petersky
"La nouvelle dignité qui vous a été conférée veut manifester l’estime pour votre fidèle travail dans la vigne du Seigneur, rendre honneur aux Communautés et aux Nations d’où vous venez et dont vous êtes de dignes représentants dans l’Église, vous investir de nouvelles et plus importantes responsabilités ecclésiales, et enfin vous demander un supplément de disponibilité pour le Christ et pour la Communauté chrétienne tout entière. Cette disponibilité au service de l’Évangile est solidement fondée sur la certitude de la foi. Nous savons en effet que Dieu est fidèle à ses promesses et nous attendons dans l’espérance la réalisation de ces paroles de l’apôtre Pierre : « Et quand se manifestera le berger suprême, vous remporterez la couronne de gloire qui ne se flétrit pas » (1 Pt 5, 4)."
Josefa Petersky
Le Bon pasteur ( statuette des musées du Vatican)