Un résistant
Je laisse découvrir sur Wikipédia la vie de ce bienheureux. Ici, je voudrais seulement mentionner l'essentiel qui se perd tant dans nos pays sans résistance spirituelle et soumis à la désinformation : l'amour inconditionnel du pape.
Enfant, j'entendais parler du cardinal Wyszinski. Ce héros devait avoir un coeur aimant. Il s'en est servi pour aimer l'Eglise, et le pape. Quel qu'il soit. Il s'est trouvé que ce fut son collaborateur et qu'il en avait perçu l'immense destin.
Je connaissais l'image émouvante du primat polonais reçu debout par le pape polonais lors de l'élection de Jean-Paul II. Ce dernier refusa qu'il s'agenouille et voulu s'agenouiller devant lui : on ne sait lequel avait le plus de respect, de révérence, de reconnaissance, d'admiration, pour l'autre. Ils servaient le même but, le même Seigneur.
Ils avaient su résister aux tentatives communistes pour les brouiller, les séparer. Ils savaient déjouer les soupçons, les calomnies, les distorsions médiatiques. Chers jeunes prêtres, nos médias sont aujourd'hui plus retords encore que les médias communistes de l'époque. Ne les suivez pas et gardez fidèlement votre confiance au pape actuel, lequel peut dire comme le primat polonais : " je remercie mes ennemis pour les calomnies dont ils m'ont honoré" !
Et si vous devenez cardinal, puisse l'exemple de ce bienheureux vous inspirer. Il est mort en offrant sa maladie le 12 mai pour le pape Jean-Paul II alors que celui-ci était entre la vie et la mort suite à l'attentat de la place saint Pierre. Et 15 jours après, lorsque le cardinal est mort, le pape était hors de danger. Voilà, cela, c'est la fidélité au pape d'un vrai cardinal !
AC
Enfant, j'entendais parler du cardinal Wyszinski. Ce héros devait avoir un coeur aimant. Il s'en est servi pour aimer l'Eglise, et le pape. Quel qu'il soit. Il s'est trouvé que ce fut son collaborateur et qu'il en avait perçu l'immense destin.
Je connaissais l'image émouvante du primat polonais reçu debout par le pape polonais lors de l'élection de Jean-Paul II. Ce dernier refusa qu'il s'agenouille et voulu s'agenouiller devant lui : on ne sait lequel avait le plus de respect, de révérence, de reconnaissance, d'admiration, pour l'autre. Ils servaient le même but, le même Seigneur.
Ils avaient su résister aux tentatives communistes pour les brouiller, les séparer. Ils savaient déjouer les soupçons, les calomnies, les distorsions médiatiques. Chers jeunes prêtres, nos médias sont aujourd'hui plus retords encore que les médias communistes de l'époque. Ne les suivez pas et gardez fidèlement votre confiance au pape actuel, lequel peut dire comme le primat polonais : " je remercie mes ennemis pour les calomnies dont ils m'ont honoré" !
Et si vous devenez cardinal, puisse l'exemple de ce bienheureux vous inspirer. Il est mort en offrant sa maladie le 12 mai pour le pape Jean-Paul II alors que celui-ci était entre la vie et la mort suite à l'attentat de la place saint Pierre. Et 15 jours après, lorsque le cardinal est mort, le pape était hors de danger. Voilà, cela, c'est la fidélité au pape d'un vrai cardinal !
AC